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« Joson et La Poux »

Le contexte en 1939 Le contexte en 1939 Le parcours de Joson Le parcours de Joson La captivité de Joson La captivité de Joson La déclaration de guerre La déclaration de guerre Pendant ce temps dans les Vosges Pendant ce temps dans les Vosges La seconde  Guerre Mondiale Après 4 ans et 11 mois de captivité Après 4 ans et 11 mois de captivité Le Retour de Joson Le Retour de Joson Jeudi 3 mai 1945 Jeudi 3 mai 1945 Sur les traces de Joson  + 70 ans après Sur les traces de Joson  + 70 ans après Page précédente Page précédente Après 4 ans et 11 mois de captivité Après 4 ans et 11 mois de captivité Le Retour de Joson Le Retour de Joson Jeudi 3 mai 1945 Jeudi 3 mai 1945 Sur les traces de Joson  + 70 ans après Sur les traces de Joson  + 70 ans après SAINTE-HELENE SAINTE-HELENE La Libération dans les Vosges La Libération dans les Vosges Péripétie d’une enfant Péripétie d’une enfant Le parcours de Joson Le parcours de Joson La captivité de Joson La captivité de Joson La déclaration de guerre La déclaration de guerre Pendant ce temps dans les Vosges Pendant ce temps dans les Vosges SAINTE-HELENE SAINTE-HELENE La Libération dans les Vosges La Libération dans les Vosges Péripétie d’une enfant Péripétie d’une enfant
La Libération dans les Vosges !
Sainte-Hélène découvre le chewing-gum ! Les alliés arrivent à Sainte-Hélène et certains d’entre eux s’installent chez Valérie. Deux Américains prennent possession d’une chambre à l’étage. Et ils ne viennent pas les mains vides ! Ma mère, Josette , a découvert le chewing-gum. Les G.I. lui offraient des biscuits, du chocolat à volonté. La privation de nourriture a amaigri Josette. Les Américains l’a faisaient manger ! Elle dégustait des beignets à tremper dans du sirop. Ils étaient bons ! Après leur séjour à Sainte-Hélène, Valérie et Josette ont découvert une multitude de conserves alimentaires dans la chambre autour et dessus la sellette en bois. Ce fut une bonne surprise, se souvient encore Josette soixante-dix ans plus tard. Que se passe-t-il en Lorraine ? Dès Paris libéré, Leclerc est sous l'empire d'une nouvelle obsession, repartir au combat vert l'Est. À partir du 30 août 1944, regroupée dans Paris, la 2e DB se remet en condition opérationnelle. Leclerc veut reprendre le combat avec l'Armée américaine, si possible au sein du 15e Corps d'armée du général Haislip et de la IIIe Armée du général Patton, généraux avec lesquels il s'est remarquablement entendu en Normandie. Il y réussit. Le 8 septembre 1944, la Division quitte Paris. La 2e DB est articulée en quatre groupements tactiques. La 1 ère Armée allemande se replie du centre de la France, pour éviter d'y être encerclée par les forces alliées venant de Normandie et du Sud-Est, et cherche à gagner la Lorraine des unités venues d'Allemagne tentent d'organiser à la hâte une défense pour l'accueillir. Les premiers coups échangés, le 12 au soir, montrent que l'adversaire rencontré est de taille. Leclerc et Langlade décident de faire face offensivement ; ce qui n'est possible qu'avec un solide appui aérien américain. À compter du 20 septembre, le commandement allié arrête son offensive vers l'Est et stabilise la situation. La 2e DB, à cheval sur la Meurthe, se trouve déployée sur une ligne Nord-Sud, face à Baccarat, depuis la forêt de Parroy (en face de la commune de Saint-Clément ) tenue par la 79e DI-US de la IIIe Armée US, jusqu'à Rambervillers tenu par la 44e DI- US appartenant à la VIP Armée US venue du Midi par les vallées du Rhône et de la Saône, au sein du VIe Groupe d'armées (général Devers) dans lequel figure également la 1 ère Armée française (général de Lattre de Tassigny). Les groupements tactiques sont alignés en défensive face à des unités d'infanterie allemandes coriaces, mais sur des positions laissant des vides - qui ont d'ailleurs leurs équivalents du côté français. Leclerc prescrit une attitude agressive : patrouilles dans le no man's land , prises de prisonniers, recherche de renseignements, en dépit des intempéries, des mines et des tirs efficaces de l'artillerie allemande. Dans cette situation statique, peu appropriée pour une division blindée à vocation mobile, Leclerc reste actif et secoue tout son monde. Il pousse l'instruction et l'amalgame des jeunes engagés, visite les unités, parcourt le terrain, observe et réfléchit. Il garde à l'esprit la reprise de l'offensive, avec, en fond de tableau, la cathédrale de Strasbourg. La ville de Rambervillers est libérée le 30 septembre 1944. Que devient Joseph Renard ? Est-il en vie ?
Le contexte en 1939 Le contexte en 1939
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Sainte-Hélène découvre le chewing-gum ! Les alliés arrivent à Sainte-Hélène et certains d’entre eux s’installent chez Valérie. Deux Américains prennent possession d’une chambre à l’étage. Et ils ne viennent pas les mains vides ! Ma mère, Josette , a découvert le chewing-gum. Les G.I. lui offraient des biscuits, du chocolat à volonté. La privation de nourriture a amaigri Josette. Les Américains l’a faisaient manger ! Elle dégustait des beignets à tremper dans du sirop. Ils étaient bons ! Après leur séjour à Sainte-Hélène, Valérie et Josette ont découvert une multitude de conserves alimentaires dans la chambre autour et dessus la sellette en bois. Ce fut une bonne surprise, se souvient encore Josette soixante-dix ans plus tard. Que se passe-t-il en Lorraine ? Dès Paris libéré, Leclerc est sous l'empire d'une nouvelle obsession, repartir au combat vert l'Est. À partir du 30 août 1944, regroupée dans Paris, la 2e DB se remet en condition opérationnelle. Leclerc veut reprendre le combat avec l'Armée américaine, si possible au sein du 15e Corps d'armée du général Haislip et de la IIIe Armée du général Patton, généraux avec lesquels il s'est remarquablement entendu en Normandie. Il y réussit. Le 8 septembre 1944, la Division quitte Paris. La 2e DB est articulée en quatre groupements tactiques. La 1 ère Armée allemande se replie du centre de la France, pour éviter d'y être encerclée par les forces alliées venant de Normandie et du Sud-Est, et cherche à gagner la Lorraine des unités venues d'Allemagne tentent d'organiser à la hâte une défense pour l'accueillir. Les premiers coups échangés, le 12 au soir, montrent que l'adversaire rencontré est de taille. Leclerc et Langlade décident de faire face offensivement ; ce qui n'est possible qu'avec un solide appui aérien américain. À compter du 20 septembre, le commandement allié arrête son offensive vers l'Est et stabilise la situation. La 2e DB, à cheval sur la Meurthe, se trouve déployée sur une ligne Nord-Sud, face à Baccarat, depuis la forêt de Parroy (en face de la commune de Saint-Clément ) tenue par la 79e DI-US de la IIIe Armée US, jusqu'à Rambervillers tenu par la 44e DI- US appartenant à la VIP Armée US venue du Midi par les vallées du Rhône et de la Saône, au sein du VIe Groupe d'armées (général Devers) dans lequel figure également la 1 ère Armée française (général de Lattre de Tassigny). Les groupements tactiques sont alignés en défensive face à des unités d'infanterie allemandes coriaces, mais sur des positions laissant des vides - qui ont d'ailleurs leurs équivalents du côté français. Leclerc prescrit une attitude agressive : patrouilles dans le no man's land , prises de prisonniers, recherche de renseignements, en dépit des intempéries, des mines et des tirs efficaces de l'artillerie allemande. Dans cette situation statique, peu appropriée pour une division blindée à vocation mobile, Leclerc reste actif et secoue tout son monde. Il pousse l'instruction et l'amalgame des jeunes engagés, visite les unités, parcourt le terrain, observe et réfléchit. Il garde à l'esprit la reprise de l'offensive, avec, en fond de tableau, la cathédrale de Strasbourg. La ville de Rambervillers est libérée le 30 septembre 1944. Que devient Joseph Renard ? Est-il en vie ?
Josette aime le chewing gum !
La Libération dans les Vosges !